lundi 26 avril 2010

Dominion Square Tavern

Pour aller fêter mon dernier bon coup (nouvelle job chez Astral média), P. et moi sommes allés faire une virée au Dominion Square Tavern. Une taverne très sympa au coeur du centre-ville au 1243 Metcalfe coin Ste-Catherine Ouest. Tout à côté du gros stationnement intérieur avec le logo de la compagnie de location Avis. Vous visualisez ..?


Agrandir le plan

Restorée pour ramener sont charme des années 20, cette taverne donne l'impression, en l'espace d'une soirée, d'avoir voyagé dans le temps ou d'avoir atterri sur un plateau de cinéma.

Des tables et chaises, aux accessoires de salle de bain, tout a été choisi avec goût et parcimonie. Pas un détail semble n'avoir échappé aux propriétaires, (dont Alexandre Baldwin de la barmacie Baldwin). Bref, l'endroit est impeccable.

On y va pour la nourriture, mais aussi pour l'ambiance ... Un jeudi soir, ce sont principalement des jeunes professionnels tout droit sortis du bureau encore cravatés qu'on croise. En tenues de bureaux, ils et elles discutent un verre de rouge ou une bonne bière à la main le temps d'un 5 à 7.
Pour notre part, P et moi avons célébré ... lui avec une bonne bière blonde, une St-Ambroise et moi, avec un verre de Prosecco
... Quoi .. ?! des bulles c'est parfait pour les occasions .. non ?!  Pour accompagner nos apéritifs, nous avons jeté un oeil au menu et choisis de se laisser tenter par les frites maisons avec mayo, la salade de betteraves avec chèvre et céleris et par l'assiette de hareng fumé.

... Hop deuxième verre de prosecco, et 2ème pinte de Ste-Ambroise, il nous fallait un autre plat à partager. Nous avons choisi l'assiette du travailleur incluant quelques délectables tranches de gravlax, une terrine de poisson, des crudités (bâtons de carottes et céleris un peu de chutney, une petite sauce au yaourt et deux tranches de pain. Deux mots : simple et chic !


Franchement, j'ai découvert un endroit absolument génial pour terminer une grosse journée de travail. J'y ai passé du bon temps avec mon amoureux, mais j'y retournerais avec plaisir entourée de bons amis le temps d'un 5à7.
À la vôtre !

Quelques liens complémentaires pour vous convaincre doublement d'y aller :
http://www.canoe.com/artdevivre/cuisine/article1/thierrydaraize/2010/01/18/12510201-jdm.html
http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=21&article=69191
http://www.sweetspot.ca/SweetLife/eat_and_drink/14539/paris_pastiche/


jeudi 22 avril 2010

Think about life ... le groupe


J'ai découvert assez récemment, je dois l'admettre et ce, grâce à TLMP, le band Think about Life. En fait, Catherine Pogonat était l'invitée de Guy A. Lepage cet hiver, si je ne m'abuse (?) ... et c'est elle qui a parlé de ce band montréalais. Quelques mois plus tard, j'ai succombé à l'envie d'aller m'acheter leur dernier album "Family" ... un must pour les fans de musique dansante. Parfait pour faire son jogging ou pour se donner un peu de beat en marchant jusqu'au métro ou à l'arrêt d'autobus. Je trippe raide sur le son très disco pop, mélangé au soul de cet album.

Voici l'URL pour leur page Myspace : www.myspace.com/thinkaboutlife . C'est leur page officielle en fait. On y trouve tout. Les vidéos, quelques chansons et les endroits où le groupe sera en spectacle. Pas de Montréal en vue ... du moins, pas pour l'instant.

Moi, personnellement, j'adore tout particulièrement la chanson : Johanna et Sweet Sixteen, qui sont mon avis, les hits par excellence pour ce remettre dans un état de joie si on est tristounet !! ;) Plaisir garanti. En fait, à la première écoute, on se dit : "OMG, un autre band qui fait du danse de mauvais goût" et puis dès la deuxième écoute on accroche sur les mélodies originales et on se met à bouger sans s'en rendre compte.



Think about life, c'est un groupe de Montréal formé en 2005. Les trois membres du groupe sont Matt Shane, Graham Van Pelt (aussi de Miracle Fortress), et Martin Cesar (anciennement de Donkey Heart). Le groupe a à son actif deux album signés sur Alien8 Recordings. Le premier, intitulé Think about life a tôt fait de chauffer les pistes de danse dès sa parution en 2006. Toutefois, le 2e, paru en 2009 et intitulé Family, en a fait tout autant sinon plus ...

Bref, Think about Life est un band à découvrir...

Autre liens complémentaires :
http://www.mangetaville.tv/Web-Tele/435/Popup.aspx
http://www.allmusic.com/cg/amg.dll
http://www.choq.fm/reportage-510.html

lundi 19 avril 2010

Etsy


Je ne suis pas une magasineuse compulsive, pas plus qu'une magasineuse du web ! En fait, je n'ai jamais acheté quoi que ce soit par ebay par exemple. Pas sûr que ça me tente de me retrouver avec des bijoux ou des vêtements que je n'ai pas essayés préalablement ou que je n'ai pas vus de mes yeux vus.

Sauf que ... une amie m'a parlé d'un site internet fort sympathique où l'on peut vendre ou acheter des bricoles, des vêtements, des accessoires, des bijoux ... fait à la main ou vintage. Il s'agit de etsy.com ... J'aime. Surtout qu'en farfouillant sur le site, j'ai bien compris que le site ne ressemblait pas au bazar d'un sous-sol d'église, ni à une campagne de levé de fond pour un club social où l'on vend des figurines laides en plâtre peinturées par grand-maman, des pantoufles en macramé, des couronnes de nowel ou encore des centres de tables faits avec des branches d'épinettes. Ce qu'on y trouve c'est plutôt : des bijoux originaux, des vêtements faits à la main souvent fabriqués à partir de tissus recyclés ou vintage, ou même des matériaux, tels de la laine, des billes, etc. En fait, les règles sont simples : on peut y vendre soit des trucs qu'on a fabriqué nous-mêmes, soit des items vintage (de + de 20 ans d'âge) ou des matériaux.
De sacs à main vintage à des pièces d'art, on peut trouver de tout. Personnellement, je compte bien mettre la main sur quelques t-shirts stylés ou des pièces uniques, comme des boucles d'oreilles, des colliers et/ou des bagues.

J'avoue que je n'ai rien acheté encore, mais ça va venir, croyez-moi. En plus d'encourager des artisans de partout dans le monde, les prix sont tellement bas (de façon générale). On a pas grand chose à perdre. 8 $ pour les souliers vintage blanc (voir la photo)... 8...ok, c'est vraiment pas cher. En plus, look d'enfer garanti ! ;) Bon magasinage en ligne.

lundi 5 avril 2010

Leméac ... beau bon pas cher




Une de mes amies m'apprenait, la semaine passée que le Leméac offre un Menu 22$ à partir de 22 h Moi qui adore aller me régaler dans les bons restos de Montréal et qui aime par-dessus tout éviter de payer des sommes astronomiques ... voilà que j'avais trouvé mon sweet spot. Bon, 22 h c'est un peu tard, oui, c'est vrai. Moi ça ne me dérange pas du tout à vrai dire. Selon moi, y'a rien de mieux que picoller et manger tard le soir. Dans ce temps-là, j'ai l'impression d'être en Espagne et de faire la grosse vie.

Et quand on y pense ... Dites-moi quels restos sont ouverts à de pareilles heures ? ... Pas tant que ça ... (J'ai entendu dire que le Milos opte pour la même formule) Alors, quand on revient d'une pièce de théâtre, d'un spectacle de musique ou même d'un party plate, y'a rien de mieux que d'aller bouffer pour en parler. En tout cas, moi, je suis vendue. J'y retournerai certainement...pour le goût, mais aussi pour le prix.

Bien que j'ai pris un temps fou à décider quoi manger, je me suis fixée sur l'entrée de saumon fumée. Il faut savoir que le Leméac a son propre fumoir. Goûter à leur saumon fumé me semblait donc tout indiqué. Eh bien ... je ne me suis pas trompée. Ouf. De fines tranches de saumon fumé dans la bouche, ça ne fait pas de mal disons.

Sinon, je me suis régalée d'un "Short rib" de bœuf braisé avec ragoût d’orge perlé. Mais comment dire à quel point j'étais satisfaite de mon choix... Tendre, la viande était si tendre que j'en rêve encore.

Pour dessert : des profiteroles. Bon là, je dois avouer que c'était un peu trop. Même à 2, on a pas réussi à terminer le plat. En plus, le dessert n'est pas inclut dans le mini prix de 22 $. Donc, pas ncéessaire.

Autre bémol : Le vin. En fait, c'est de ma faute. Je n'aurais jamais dû écouter ma copine qui a imposé ses goûts en choisissant un vin ordinaire et sans éclat. Je suis trop souple. Prochaine fois : éviter le pinot noir. Je suis toujours déçu par son goût trop léger en bouche.

Alors à tous les gastronomes, laissez-vous tenter par le Leméac, vous serez éblouis !

lundi 29 mars 2010

PARLE PARLE JASE JASE 2010





Le samedi 20 mars dernier avait lieu la 5e édition du Colloque PARLE PARLE, JASE JASE. C'est sous le thème de l'innovation que la programmation de cette journée s'est dessinée. En passant par le web 2.0, l'événementiel, la télésérie Mirador, les communications internes ... les conférenciers, ont tour à tour su répondre aux attentes des participants. Du moins je l'espère ...

J'ai pu assister à 4 conférences seulement, soit celle de Michelle Blanc (Analyweb), de Cédric Orvoine (Ubisoft), de Renée-Claude Ménard (Cirque du Soleil) / Jean-François Dumas (Influence Communication) concernant les retombées de l'événement One Drop et celle maintenant en vedette un panel composé du co-auteur de la série Mirador, Daniel Thibault, Hugo Dumas, journaliste de La Presse et Bernard Motulsky, Titulaire de la Chaire de RP et communication marketing de l'UQAM.

D'entre toutes les conférences, c'est celle de Michelle Blanc que j'attendais ...
J'avais beaucoup entendu parler de cette femme, de son approche peu traditionnelle, de son côté vulgaire. Oui, vulgaire ou plutôt sans scrupule. Pour crier à des étudiants en RP que les relationnistes professionnels sont des "CHEAPS" à tue tête 3 fois plutôt qu'une, faut avoir du culot. Il faut savoir que Michelle ne serait jamais venue gratuitement si ce n'avait été d'avoir une audience exclusivement composée d'étudiants en RP. Pour l'avoir sinon, il faut payer ... et payer très cher. Seulement 28 étudiants étaient présents dans la salle pour profiter de ses bons conseils. Cette chance ne se présentera pas 2 fois.

En même temps, comme dit Miss Blanc, pour tous les autodidactes de ce monde, sachez que le contenu de sa conférence ne diffère pas d'un iotas de ce qui est écrit sur son site et sur son blogue. Pour faire bon usage du web 2.0 et des médias sociaux...il faut la lire. C'EST TOUT ! Donc avis à ceux qui sont débrouillards : Lisez et vous serez servis !

Personnellement, j'ai bien aimé la conférence. Surtout pour entendre madame Blanc répéter des choses que je sais déjà, mais que j'ai tendance à ne pas me rentrer dans la tête. Ça fait du bien de se faire répéter les choses parfois. Ça fini par faire son chemin dans notre cerveau.

Honnêtement, je pense que la conférence a été plus utile pour les néophytes que pour les plus avancés. Et c'était ça le but.

Autrement, j'ai particulièrement apprécié le débat des panélistes touchant la série Mirador. Discussion assez relevée entre journaliste, auteur et relationniste. C'était beau à voir...


Sinon, j'ai adoré m'impliquer dans le projet du Colloque PPJJ 2010 et espère être de la partie l'an prochain. Je suggère à tous les étudiant(e)s et jeunes professionnel(le)s de participer à cet événement, qui est sans conteste, le plus bel événement de réseautage et d'apprentissage en RP.

Longue vie au Colloque PARLE PARLE, JASE JASE !

lundi 8 mars 2010

Quand la cabane devient haut de gamme

Ah ben c'est raté ! Hé oui, j'ai loupé la chance de retourner m'empiffrer de plats sucrés et surtout de luxe signés Martin Picard à la Cabane à sucre au Pied de cochon. Le chef du PDC s'est offert un cadeau à l’hiver 2009 en achetant cette cabane à sucre dont il rêvait depuis longtemps. Au printemps 2009, il a ouvert la cabane pendant le mois de mars seulement du jeudi au dimanche.

Cette année en 2010, il y a eu ruée vers l’or. Même si ouverte de mars à mai, la cabane ne fournit plus. J’avais envoyé une demande de réservation au début de février, mais dès la fin février, on met signifiait que toutes les tables étaient prises jusqu’à la fermeture. Moi qui voulais fêter mon père là-bas… C’était la seule chose qu’il demandait pour ses 60 ans ! Imaginez ma déception.

Située à 45 minutes du centre-ville de Montréal, cette cabane réinventée nous plonge dans l'univers de Picard et de ses fantaisies culinaires inspirées des plats traditionnels de la saison des sucres. Dans un décor rustique, mais à la fois urbain, la faune du plateau (oui, en effet, peu de têtes grises à l'horizon) se vôtre dans les plats magnifiques mais ô combien soutenants. C'est qu'il faut arriver à jeun, croyez moi ! Si vous avez eu le malheur de manger un petit déjeuner avant d'y aller, vous ne serez jamais capable de suivre la cadence. Il faut comprendre que le chef nous réserve une douzaine de plats (de l'entrée au dessert).

Paradis de ceux qui n'en peuvent plus des cabanes à sucre de rougemont style «la Gouderelle» et compagnie, la cabane de Picard nous fait notamment se délecter avec sa soupe aux pois avec dés de foie gras poché, son omelette au maquereau fumé, ses oreilles de Christ fines et délectables, ses makis au foie gras et au homard, ses magrets de canard laqués au sirop d'érable sur fèves au lard, etc. Oui oui, vous avez bien lu. L'imaginaire de Picard n'a pas de limite quand il s'agit de mélanger, gras, sucre et mets traditionnels de la cabane à sucre.

Alors, petit conseil pour vous qui êtes tenté par l’expérience gastronomique : Réservez d’avance … vraiment d’avance et ... bonne chance.

jeudi 4 mars 2010

mica quoi ?


Quel choc j'ai eu quand j'ai vu la vidéo "Golden Phone" ...Heu... Super bonne toune, bon beat, un style qui déchire, un vidéoclip absolument éclaté et original !!! Mais LA question : Qui sont ces enfants qui font de l'aussi bonne musique, me suis-dis ???

Un ami avais envoyé à moi et mon chum la vidéo youtube de cette chanson et j'ai craqué pour ce band. Mon dieu que ça me fait du bien quand je découvre un nouveau groupe à écouter. Enfin j'ai quelque chose de nouveau à me mettre dans les oreilles. J'en ai parfois marre d'écouter les mêmes bands, les mêmes chansons dans mon ipod et parfois paresseuse de me mettre à jour musicalement parlant.

Et quand je réussi à trouver un nouveau band qui me fait tripper, j'aime bien le faire connaître à tout le monde. Alors ... avant d'écouter, un peu d'information...

La tête derrière le groupe est en fait une fille de Surrey en Angleterre. Auteure compositeure interprète et multi instrumentiste, Mica Levi mélange avec un talent immense divers style musicaux, du hip hop au rock travaillant des mélodies avec beaucoup de finesse. Complètement flyée, la musique de Mlle Levi tombe dans la pop expérimentale (c'est pas moi qui le dit, c'est elle)

Un peu originale, elle va jusqu'à créer ses propres instruments dont le Chu (nom qu'elle lui a donné), qui est en fait une sorte de guitare. Archi talentueuse, elle a étudié notamment le violon et le violon alto dans des écoles d'arts de Londres et après les années d'école elle a cumulé expérience sur expérience dans les clubs comme DJ et MC. Je suis complètement en admiration devant elle.

Le premier album de Micachu «Jewellery» a été lancé au printemps 2009 sous l'étiquette Rough Trade Records. Je conseille à tous de l'acheter.

Ah oui ! Une recommandation ... À écouter en même temps qu'on lit le livre un roman français de Frédéric Begbeider, un roman qui m'a personnellement charmée. Le rythme et le style d'écriture, la folie dans la tête de Begbeider, le retour dans l'enfance s'allie avec la même folie, la même jeunesse, le rythme de la musique de Micachu. C'est la première fois que je vie ce genre de sensation, soit d'avoir l'impression qu'un groupe et un livre se marie parfaitement. Encore aujourd'hui quand j'écoute ce groupe, j'ai des images ou des souvenirs du livre qui viennent m'habiter. C'est vraiment agréable en fait !

lundi 15 février 2010

le crowdsourcing

On parle beaucoup des médias sociaux comme Facebook, Twitter, Linkedin permettant aux gens d'être liés à des milliers de personnes pouvant communiquer avec une quantité hallucinante de gens. Les limites sont abolies !! Toutefois, un phénomène majeur est en émergence grâce aux médias sociaux. J'ai nommé : le crowdsourcing.

Le crowdsourcing est un néologisme conçu en 2006 par Jeff Howe et Mark Robinson, rédacteurs à Wired magazine. Ce phénomène, permettant à toute personne de mettre à profit son talent, ses compétences et ses connaissances pour résoudre des problèmes et/ou trouver des solutions,
peut s'appliquer à toutes sortes de besoins et problématiques.

La 1e fois que j'ai entendu parler de ce phénomène j'étais dans une conférence du Club Télécom qui portait sur le thème d’actualité « Les Médias Sociaux sont-ils une mode passagère? » Un des conférenciers, le finlandais, Monsieur Peter Vesterbacka, fondateur/cofondateur de plusieurs sociétés, notamment Some Bazaar, ConnectedDay, Wreckamovie, MobileMonday, et conseiller pour un grand nombre d’entreprises en démarrage en Europe, a présenté diverses façons d’utiliser les médias sociaux dans une entreprise en télécommunication. Il a illustré le potentiel du crowdsourcing en mettant en lumière l'exemple de Wreckamovie et c'est là que j'ai compris la portée que pouvait avoir le crowdsourcing.

En 2006, des jeunes ont eu l'idée de réaliser un film, « Star wreck » avec très peu de moyens, en utilisant les ressources humaines provenant de partout dans le monde. Leur film a été vu par des millions de personnes gratuitement sur Youtube. C'est en voyant le potentiel de ce genre de travail collaboratif qu'ils ont fondé wreckamovie. Ce 1e studio de cinéma internationalbasé sur le web réunissant des milliers d'internautes avides cinéphiles se voulait une base pour permettre à tout plein de gens de faire des films avec peu ou pas de budget de haute qualité et avec la plein de monde de partout sur la planète.

Quand on parle de crowdsourcing, on pense peut penser immédiatement à Wikipedia, une encyclopédie en ligne, gratuite, constituée et mise à jour par ces utilisateurs et monitorés par certains modérateurs. Mais on peut également penser à la recherche et le développement avec Innocentive. Ce site, unissant les ressources et compétences des participants, peut alors proposer des produits et services à des coûts très bas. Un autre bon exemple de ce genre de site est : www.istockphoto.com

Ce qui a connu toutefois plus de visibilité sont les publicités qui ont été effectuées par le moyen du crowdsourcing. Doritos en est un bel exemple. Pour créer la publicité qui serait diffusée pendant le Superbowl 2007 on a demandé à la population de soumettre des idées filmées maison et le gagnant (la meilleure idée) serait retenue et aurait l'occasion de voir sa pub pendant l'événement sportif le plus regardé au monde. Ce concept tient depuis 2007. Voici le gagnant 2010.

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samedi 6 février 2010

facebook : dating service ?

Célibataires : y'a de l'espoir !!! Si après avoir exploré moult pistes pour trouver l'âme sœur et que vos démarches sont à ce jour restées vaines, avant de vous décourager complètement, pourquoi ne pas aller faire un tour sur Facebook...?

C'est probablement, la question que se sont posées les 2 instigatrices (Catherine Perreault-Lessard et Kristia Louis-Seize) du concept: "Urbania veut trouver un chum à Geneviève". Oui, ce projet original de web-réalité est né d'une volonté d'explorer les possibilités qu'offrent Facebook et de prouver qu'en unissant les efforts de plusieurs "amis", on peut trouver l'amour …

Les organisatrices de ce projet se sont donné comme objectif de trouver un chum à Geneviève Dionne en moins d'1 mois. Plus précisément : le 21 février, Geneviève doit pouvoir enlever son statut "célibataire". Pour y arriver, tout est permis : lui faire un «request», lui suggérer des amis, chatter avec elle et/ou l'inviter à des événements où elle pourrait rencontrer des gens. Il est également possible de lui envoyer un message personnel... En fait, tous les moyens sont bons.

Pour y arriver, les idéatrices de cette expérience sans pareil souhaitent que le plus de monde possible se joigne au groupe. À ce jour, soit depuis le 20 janvier, 710 fans se sont inscrits au groupe. On peut suivre le blogue régulièrement mis à jour pour nous révéler les "pick-up lines" du jour ou le "prospect" du jour en plus de quelques "fast facts" triés sur le vif. Bref, les rédactrices réussissent à nous faire rire à tout coup. Elles sont réellement délirantes !

Cette expérience web a inspiré notamment Patrick Lagacé qui en a parlé dans son blogue et plus récemment Christiane Charette, qui a conviée Geneviève et les 2 conceptrices du projet à son émission de radio sur les ondes de Radio-Canada. L'animatrice qui ne s'est d'ailleurs pas empêchée d'essayer de «matcher» Geneviève avec son recherchiste. On peut écouter en baladodiffusion l'émission de Christiane Charette qui interview la vedette de cette belle aventure : LA Geneviève Dionne.

Je n'ai qu'un mot à dire : BRAVO ! Quelle bonne idée d'avoir monté cette fabuleuse histoire pour créer un buzz autour du magazine URBANIA. On ne se le cachera pas, ce concept innovateur sert parfaitement deux causes à la fois : celle d'aider une fille à rencontrer le garçon idéal, mais aussi à donner le goût aux centaines de fans du groupe "Urbania veut trouver un chum à Geneviève" de se procurer la prochaine parution : Spécial Facebook.

Bref, la question que tout le monde se pose, et moi comprise : Quel homme réussira à conquérir le coeur de NOTRE Geneviève ??!! Bien hâte de le savoir.


À suivre...

dimanche 31 janvier 2010

engrish


Qui n'a pas déjà eu le fou rire (ou un haut-le-coeur) en lisant un menu de restaurant écrit dans un français ou un anglais approximatif ? Si ça ne vous ai jamais arrivé, allez vite faire un tour dans le Quartier chinois de Montréal... Vous allez rapidement comprendre ce que je veux dire. C'est absolument délirant la quantité de coquilles qu'on peut trouver. On en voit dans les menus, mais sur les produits alimentaires aussi. Vraiment, je suis toujours étonnée de constater que des propriétaires de restaurants (pas tous bien sûr) soient si peu scrupuleux quand vient le temps de rédiger leur menu en français et/ou en anglais. C'est normal d'avoir recours à de l'aide pour bien écrire quand on ne maîtrise pas du tout une langue. Y'a pas de gêne à avoir ! Pourquoi certains s'obstinent à rédiger eux-mêmes sans faire réviser leur texte par une personne bilingue ou encore mieux...un traducteur ? Clairement, ça ne fait pas partie de leurs priorités. Bon, de toute manière, je leur pardonne. Après tout, les expressions sont parfois si charmantes. Suis-je la seule à m'émouvoir devant un sac de débris de chocolat ou encore devant des plunes en vrac...?!
En fait, j'ai appris il y a quelque temps que ce phénomène était observé partout dans le monde (rien d'étonnant vous me direz) et que le nom varie selon les langues. "Engrish" est probablement le plus connu. Son équivalent en français : le "franponais". Selon wikipedia, l'orthographe de ces termes s'explique par le fait que la langue japonaise ne fait pas de distinction phonétique entre les lettres "l" et "r". C'est sur le site Internet www.engrish.com qu'on peut trouver les meilleures photos de panneaux, menus, vêtements ou pages de magazines croquées par des touristes ou des expatriés. Dans le même ordre d'idée, on trouve aussi le terme "chinglish" contraction de chinese et english. D'ailleurs, j'ai lu, qu'en 2008, en vue de la préparation des jeux olympiques d'été de Pékin, les autorités chinoises avaient fait une campagne majeure d'assainissement grammatical afin que les panneaux d'informations mal écrits disparaissent des rues de Pékin.